Sciences en fête
Pistol et Polar nordiques d'automne !
Pistol... parce que j'ai craqué et qu'elles sont trop belles en chestnut -couleur d'automne- et confortables !
Et Polar parce que ce roman policier de Jussi Aldler Olsen est vraiment dans la lignée de Stieg Larson et de la série des Läckberg* et qu'après l'avoir fini, j'ai bien envie de lire les deux suivants du même auteur. Les prénoms, les noms, les lieux, tout y est dépaysant : on sent la pluie glaciale qui tombe sur Copenhague et le parc de Tivoli nous transpercer, la mer agitée nous éclabousse de ses embruns et quand il y a un rayon de soleil, il est pâle et ne réchauffe pas. Un roman noir et haletant dont j'ai vu quand même une partie du dénouement arriver : à lire bien pelotonné(e) dans une couverture ou un châle, au coin du feu, les soirs d'automne...
Profitez bien de votre week-end !
*A propos, je ne sais pas si vous regardez, mais les enquêtes d'Erica, le dimanche soir, ne sont pas mal du tout...
WE champêtre et animé (3)
Comme présenté dans mon dixième bonheur d'été, le week-end dernier a été riche en activités et visites originales. Nous nous sentions encore en vacances...
(3) Nous sommes allés visiter le gouffre de La Fage. Stalagtites, draperies, cascades pétrifiées et autres colonnes de calcite composaient un spectacle féérique qui a ravi grands et petits même si nous n'avons pas vu de chauve-souris !
WE champêtre et animé (2)
Comme présenté dans mon dixième bonheur d'été, le week-end dernier a été riche en activités et visites originales. Nous nous sentions encore en vacances...
(2) Nous sommes allés visiter le tout nouveau musée de la région sur l'uranium : Urêka. Vraiment spécifique mais intéressant - surtout pour les grands !
Lecture d'été sans prise de tête...
Une couverture qui ne peut que faire penser à celle de Rien ne s'oppose à la nuit et qui attire donc l'oeil vu le succès du livre de Delphine Le Vigan. Un roman qui promet d'être un des best-sellers de l'été et dont on voit le titre à rallonge partout.
Il fallait que je le lise et que je découvre par moi-même ce que j'en pensais.
Alors ça se lit. Vite. Très vite. On a envie de connaître la suite. C'est donc très facile d'accès. C'est un livre qui emploie les stéréotypes de ce qui plaît : la perte brutale d'être chers, le deuil à faire, l'isolement, la dépression, l'espoir qui renaît avec l'amour vache. Tout est un peu / beaucoup / très téléphoné... Les personnages sont "classiques", il y a l'homme bourru mais séduisant (Edward, quel hasard !), la femme complétement paumée qui se perd dans la cigarette pour oublier ses drames, le meilleur copain homo à la sexualité débridée (oh tiens,il y a du Crossfire là-dedans !), etc.
On voit que l'auteur n'est pas forcément "littéraire" par nature, il manque quelques explications pour peaufiner l'histoire et la rendre plus fluide. Mais c'est un début qui surfe sur les romans à la première personne (c'est une fille qui raconte), comme tous les succès du moment j'ai l'impression. Effet de mode.
Alors Agnès Martin-Lugand n'a pas à rougir. Elle n'est pas plus mauvaise qu'une autre. Elle a le mérite de s'être auto-éditée en numérique et d'avoir fait le buzz sur les ventes en ligne pour être plus visible et au final, trouver un éditeur, éditeur qui avait refusé le roman initialement. Jouer avec la mode, avec ce qui plaît facilement, utiliser les outils du web pour mieux se vendre, pourquoi pas tant que c'est assumé. Et ça l'est. Elle peut donc se réjouir de son succès.
Alors ne dépensez pas 15 euros pour acheter le roman. Il ne vaut pas ce prix-là, réservez cet argent pour un livre moins marketing... Attendez qu'on vous le prête ou alors, achetez-le en numérique (3 euros, c'est plus approprié). C'est bien assez pour cette lecture vite envolée à lire sans connecter de neurones sur la plage, un livre qui ne restera pas dans les annales mais qu'il faut sans doute avoir lu pour être à la page...
Un petit détour par Nancy
[Venise - à faire] Divers (*10)
[1] Jeter un coup d'oeil par le hublot (à droite) avant l'atterrissage - [2] Prendre la même photo que celle des cartes postales (ou pas)- [3] Photographier le Pont des Soupirs (encore et encore) - [4] Danser pieds nus la nuit dans l'eau sur la place Saint-Marc - [5] Ne pas chercher à redresser les clochets (ils penchent) - [6] Aller voir un opéra avec Musica al Palazzo (les chanteurs et musiciens à 1 mètre de soi, c'est divin !) -[7] Ouvrir les yeux sur de petits détails - [8] Visiter le Palais des Doges (secret) - [9] Admirer toutes les fleurs aux fenêtres - [10] Repérer les sols géométriques 3D
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[Quelques jours au Pays Basque] Jour 3 - matin : Le musée Guggenheim de Bilbao
Un petit tour par l'extérieur avant de nous plonger dans les collections intérieures.
L'incontournable de la région. Tout le monde a adoré !
L'art y est accessible pour tous, les audioguides compris dans l'entrée et l'espace tellement bien agencé que les 3 heures de visites ont filé sans que l'on ne sature.
Le musée était accessible à pied depuis notre hôtel via la traversée d'un beau parc et a pu être le point de départ de notre balade de l'après-midi dans la vieille ville.