Encore un swap à thème !
Ce sera le dernier avant les vacances je pense. Ma swappée proposait 3 thèmes, je devais en choisir un pour la gâter.
Devinez-vous le thème choisi grâce à cette première photo de la carte qui accompagnait le colis ?
Oui, bravo, c'était "licorne"...
Et voilà donc ce que contenait le colis :
Il y avait donc le livre Des Dames à la Licorne de Barjavel, un sticker grand format "licorne aux étoiles" pour décorer un meuble ou un mur blanc, un sac tote pour tout transporter et cousu dans le tissu Licornes de Michaël Miller (il est venu de Hong Kong celui-là), 3 petites gommes Iwako trop mimi et aux couleurs assorties et un cadre de décoration avec à l'intérieur l'un des origamis les plus compliqués que j'ai jamais fait, une licorne, évidemment, dans les jolis papiers colorés de Fifi Mandirac...
Détails :
Alors, comment le trouvez-vous ce colis ?
PS : Pour celles qui ont aussi envie de se creuser la tête pour envoyer (et recevoir) des colis, c'est sur le chouette (et fiable car tenu de main de maître par de vraies administratrices qui y passent beaucoup de temps et d'énergie) forum "swappons ensemble" que je m'inscris à ces swaps. Vous pouvez vous y inscrire de ma part ! Moi j'adore, car ça donne un vrai but à mes petites créations et m'oblige à réfléchir sur des thèmes qui ne seraient pas forcément les miens (comme par exemple ici).
Un week-end d'été comme on les aime...
Ca fait du bien de pouvoir vraiment profiter... même si on a quand même beaucoup bossé (pour préparer la formation que j'assure lundi et sur laquelle j'était un peu à la ramasse mais aussi pour mettre en place notre futur potager en hauteur...). Mais on a pris l'air, l'eau et le soleil. On a pu admirer le jardin et regarder les plantes pousser. C'était trop bien. Un avant-goût de vacances...
Photos...
Et juste pour Et-féé-mère, voici mon Bonheur d'été (n°3, je prends les choses en cours de route): Regarder mon hibiscus fleurir !
Petits cadeaux pour les maîtresses... et les autres !
Cette année, je m'y suis prise plus tôt (faut dire que d'année en année, le nombre de bénéficiaires s'allonge) et j'ai profité du mercredi pluvieux pour faire contribuer les enfants... Il y a donc, des étuis à lunettes, un sac à casque de musique, un sac tote, un sac pour les baskets. Pour les maîtresses (*3), l'ATSEM de mon mini et le maître de mon mini aussi (une journée par semaine). Avec des touches personnalisées par mes volcans : vous reconnaîtrez la contribution des grands, le petit a usé des tampons lunettes (un peu comme là), a dessiné un bonhomme et colorié les notes "blanches" en vert pour assortir au biais.
Ce n'est pas grand'chose mais c'est unique et c'est pour dire : m.e.R.c.i !
Et, à la manière inversée d'une photo de rentrée, je ne résiste pas à vous montrer les volcans qui sont partis tout contents ce matin pour prendre le bus...
Lecture d'été sans prise de tête...
Une couverture qui ne peut que faire penser à celle de Rien ne s'oppose à la nuit et qui attire donc l'oeil vu le succès du livre de Delphine Le Vigan. Un roman qui promet d'être un des best-sellers de l'été et dont on voit le titre à rallonge partout.
Il fallait que je le lise et que je découvre par moi-même ce que j'en pensais.
Alors ça se lit. Vite. Très vite. On a envie de connaître la suite. C'est donc très facile d'accès. C'est un livre qui emploie les stéréotypes de ce qui plaît : la perte brutale d'être chers, le deuil à faire, l'isolement, la dépression, l'espoir qui renaît avec l'amour vache. Tout est un peu / beaucoup / très téléphoné... Les personnages sont "classiques", il y a l'homme bourru mais séduisant (Edward, quel hasard !), la femme complétement paumée qui se perd dans la cigarette pour oublier ses drames, le meilleur copain homo à la sexualité débridée (oh tiens,il y a du Crossfire là-dedans !), etc.
On voit que l'auteur n'est pas forcément "littéraire" par nature, il manque quelques explications pour peaufiner l'histoire et la rendre plus fluide. Mais c'est un début qui surfe sur les romans à la première personne (c'est une fille qui raconte), comme tous les succès du moment j'ai l'impression. Effet de mode.
Alors Agnès Martin-Lugand n'a pas à rougir. Elle n'est pas plus mauvaise qu'une autre. Elle a le mérite de s'être auto-éditée en numérique et d'avoir fait le buzz sur les ventes en ligne pour être plus visible et au final, trouver un éditeur, éditeur qui avait refusé le roman initialement. Jouer avec la mode, avec ce qui plaît facilement, utiliser les outils du web pour mieux se vendre, pourquoi pas tant que c'est assumé. Et ça l'est. Elle peut donc se réjouir de son succès.
Alors ne dépensez pas 15 euros pour acheter le roman. Il ne vaut pas ce prix-là, réservez cet argent pour un livre moins marketing... Attendez qu'on vous le prête ou alors, achetez-le en numérique (3 euros, c'est plus approprié). C'est bien assez pour cette lecture vite envolée à lire sans connecter de neurones sur la plage, un livre qui ne restera pas dans les annales mais qu'il faut sans doute avoir lu pour être à la page...
Un mercredi* sur la plage...
*mercredi d'été ou mercredi d'hiver... A vous de juger ! (et ce sont les commerçants du coin qui s'arrachent les cheveux. Les parkings du lac sont condamnés car sous l'eau, la plage était déserte un mercredi après-midi... Pourtant, nous avions aperçu que les campings s'étaient déjà remplis. Mais où sont donc les vacanciers ?)
Enfin nous, on a joué dans le sable, courru dans les dunes, lancé des bâtons, photographié les plantes des sables en fleurs, mis les pieds dans l'eau des bahïnes, ramassé des galets et compté les méduses échouées. Vaste programme !
Un petit détour par Nancy
La semaine compliquée commence...
Celle où j'ai deux aller-retours à faire à Paris alors que monsieur est à Londres, que les enfants ont classe mais plus d'activités le mercredi et où la nounou est en vacances... Les grands'parents ont décliné l'invitation de venir dépanner.
Compliquée, je vous disais !
Des jours où l'on court - comme la semaine dernière d'où mon peu d'assiduité ici - des jours où l'on croise les doigts pour que tout se passe bien et qu'il n'y ait pas de grain de sable dans l'engrenage.
Mais où étais-je la semaine dernière ?